Fabrication d’un enrouleur de soie – Article 3/3

Voici le dernier opus de cette série de trois articles destinés à la fabrication (DIY comme disent les anglo-saxons) d’un enrouleur de soie à soi 😉

Nous sommes à présent dans la phase « critique » de l’assemblage, là où on a en général les mauvaises surprises et les adaptations de dernière minute.

Je commence à assembler le rouet en collant les ronds de 10mm dans les disques latéraux, et pour l’instant tout se passe pas trop mal. Ça rentre un peu en force mais c’est normal.

Pour fixer les joues qui supporteront l’axe du rouet à la base, j’ai choisi la technique du lamello aussi appelé biscuits, le tout collé. Normalement c’est pas prêt de bouger et c’est un but recherché.

Il me reste à assembler le porte moulinet fraîchement reçu. Ici, toujours pas de mauvaise surprise car le mieux pour les éviter et toujours de faire le plus simple possible. La preuve dans ce petit diaporama.

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Et enfin, un petit passage de finition histoire de rendre l’ensemble un peu plus joli même si on voit clairement qu’il s’agit de contreplaqué.

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Côté budget, un bricoleur occasionnel qui possède déjà quelques chutes de bois et de l’outillage devrait s’en sortir pour moins d’une quinzaine d’euros. C’est mon cas puisque je n’ai finalement acheté pour ce projet uniquement le porte moulinet (7€), mais vous pouvez très bien en récupérer un sur une vieille canne, et les ronds qui servent à la base à faire des chevilles en bois aussi appelé tourillon en hêtre (2m en diamètre 10mm et 1m en diamètre 20mm, le tout pour 6€).

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Pour ceux qui sont pressés et qui veulent aller à l’essentiel, voici un montage vidéo qui reprend ces trois articles.

Si vous êtes tenté par ce projet, n’hésitez pas à laisser un commentaire, à m’envoyer un mail,…afin que je puisse vous envoyer mon fichier Google Sketchup.

Bon bricolage !